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La Ghouta orientale, assiégée par le régime syrien depuis 2013,  reçoit l'aide humanitaire au compte-goutte et les premières victimes de ces restrictions sont les enfants.  Dans cette zone pourtant de « de désescalade », on ne dénombre plus le nombre de décès pour cause de malnutrition. Un ancien adage syrien disait  « Personne ne meurt de faim en Syrie »,  c’est malheureusement la triste réalité du pays aujourd’hui. La famine y est un fléau. La situation médicale se détériore également rapidement et deux enfants sont morts la semaine dernière des causes du manque de médicaments et de la malnutrition.

Lire le communiqué : http://conta.cc/2AgkG19