Un septième hiver dans les camps de réfugiés en Syrie
Depuis fin décembre 2018, les conditions climatiques sont extrêmes dans le nord de la Syrie. Les pluies diluviennes, inondations, chutes de neige et températures en dessous de zéro ont rendu la vie de plus de 6,5 millions de syriens déplacés internes impossible. Températures glaciales et conditions climatiques menacent la vie des milliers de réfugiés déjà éprouvés par la guerre.
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Retour sur 2018, une année pendant laquelle votre engagement a porté l'UOSSM dans toutes ses missions
L’UOSSM en 2018 a été sur tous les fronts, au plus proche des populations en détresse, même dans les situations les plus dangereuses. Grâce à votre soutien et votre engagement constant, nos équipes ont été capables de répondre aux situations d’urgence et de continuer à soutenir les populations dans le besoin.
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La story Fatouma : les traumatismes d’une enfant qui n’a connu que la guerre
Fatouma, 11 ans, comme une génération entière d’enfants en Syrie, a grandi en ne connaissant que la violence, la pauvreté, la sous-alimentation et le manque d’accès aux services de base comme l’eau, les soins de santé et l’éducation. Difficultés scolaires, troubles de la marche et de l’équilibre, manque de confiance en soi, Fatouma souffre des conséquences dévastatrices d’une guerre qu’elle n’a pas choisie. Heureusement, elle a croisé sur son chemin les équipes de soutien psychologique de notre centre Al-Bara, dans la région d'Idleb, qui ont fait de sa protection et de son épanouissement, une priorité. Accompagnée par nos équipes, Fatouma a pris le chemin de la résilience.
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La story Sedra : Comment va Sedra deux mois après sa rencontre avec l'UOSSM ?
Il y a deux mois, nos équipes mobiles de l'Espace Amis des Enfants à Atama rencontraient Sedra qui ne pouvait plus aller à l’école faute de fauteuil roulant. Les professeurs, inquiets de ses absences répétées, avaient alerté les agents de l'UOSSM qui s'étaient immédiatement rendus auprès de la jeune fille pour lui offrir l'équipement dont elle avait tant besoin mais aussi pour l'aider à réintégrer le système scolaire.
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La story Dahouk
Elle s’appelle Dahouk. À l’âge de 3 ans, elle a été brûlée au 3ème degré. Sa vie a basculé. Les brûlures graves ont laissé des cicatrices importantes, qui ont un impact sur sa qualité de vie et son bien-être. Une telle catastrophe ne porte pas seulement atteinte à son physique, elle a aussi des conséquences considérables sur sa vie quotidienne : la petite fille souffre d'une perte de confiance en soi et d'anxiété.
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5,3 millions d’enfants syriens privés de leurs droits
Article 3 - "Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne." Ce lundi 10 décembre, alors que nous fêtons les 70 ans de l’adoption par l’ONU de la Déclaration universelle des droits de l’homme, Walaa Hamza nous rappelle qu'aujourd'hui, en Syrie, 5,3 millions d’enfants sont privés de ces droits et ont besoin d'une aide d'urgence vitale.
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SmileChild, dessinez leurs sourires
Désorientés, dans des conditions de vie extrêmes, les enfants syriens sont très vulnérables et exposés au stress toxique. Selon Alexandra Chen, spécialiste de la protection de l’enfant et de santé mentale à l’université de Harvard, le stress toxique est « la forme la plus dangereuse de réponse de stress qui peut se produire quand les enfants se retrouvent confrontés à une adversité forte, fréquente ou prolongée sans un soutien approprié des adultes ».
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